[...] Les intérêts
généraux du Pays n'étaient véritablement représentés
que par l'État tiers. Cet État était composé de bourguemestres des bonnes villes. Vingt-trois villes avaient voix et séance à l'État tiers. C'étaient:
C'est ainsi que les villes étaient classés dans le matricule de l'État tiers. Leur rang de présence était le suivant, que l'usage seul avait fixé:
La ville de Maestricht, qui était, depuis les plus anciens temps, un membre de l'État tiers, cessa d'envoyer des députés aux assemblées du Pays en l'an 1406. Elle vécut dès lors preque tout-à-fait en ville indépendante. |
|
quoted p. 41-42 from: Ferd. Henaux, Constitution du Pays de Liège, Tableau des institutions politiques, judiciaires et religieuses de cet état en 1789, nouvelle édition, 1858, Liège, Desoer, 215 pp. |